Découvert sur le tard, le Savigny-lès-Beaune rouge a modifié nos rituels familiaux
Marine, 29 ans, est responsable de communication dans un grand groupe cosmétique. Sa passion pour le vin lui vient de sa famille, bourguignonne par sa mère et varoise par son père. La dégustation la passionne et c’est toujours pour elle un vrai plaisir de découvrir des nouveautés. Aujourd’hui, elle nous raconte comment une bouteille découverte tardivement a transformé son rituel hebdomadaire familial.
« On a l’habitude de se retrouver souvent en famille chez mes parents, généralement une fois par semaine, avec ma soeur. Ce sont des dîners simples, sans prétention culinaire, où nous ouvrons toujours un vin qui nous fait plaisir.
Il est vrai que nous avions pris l’habitude d’ouvrir du Bourgogne lorsque l’on préférait boire du blanc et du Bordeaux pour le rouge. Pourtant, nous avons un fief familial du côté de Mâcon et la famille de ma mère vient de cette région, mais c’était un peu comme une tradition entre nous, et nous oublions le Bourgogne rouge.
Et puis un jour, alors que mes parents revenaient d’un week-end en Bourgogne, ils ont rapporté un Savigny-lès-Beaune rouge et de la charcuterie régionale (rosette de Lyon, charcuterie bourguignonne…). Ça a été comme une révélation pour nous tous ; nous avons redécouvert les saveurs fruitées et musquées du pinot noir, qui se mariaient parfaitement avec ce dîner « sur le pouce ».
Depuis, nous avons changé notre rituel hebdomadaire, et le Savigny-lès-Beaune fait systématiquement partie de notre table lorsque nous mangeons quelque chose qui s’y prête. C’est un peu notre retour aux origines maternelles bourguignonnes ! »